Collaborer avec la recherche et ouvrir de nouveaux questionnements
avec, sur, pour les adolescent.e.s
Le premier projet Marguerite était la partie appliquée d’un projet de recherche-action engagé en 2013 pour penser le maintien des espaces agricoles à proximité de Lyon et, plus largement, des grandes métropoles.
Ce projet a été mené par Julie Le Gall, alors enseignante chercheur géographe à l’ENS de Lyon (Laboratoire Environnement Ville Société) et Myriam Laval, enseignante d’Histoire-Géographie au collège Elsa Triolet de Vénissieux (Rhône).
Depuis lors, l’un des objectifs du Réseau Marguerite est de faciliter la mise en relation des acteurs scolaires et des équipes de recherche.
Pour les chercheurs, les établissements sont des terrains fertiles pour co-construire des projets de recherche-action, car les adolescents sont des êtres en transition sur des territoires en transition. Les projets permettent de prendre du recul sur les pratiques des enseignants et adolescents, sur le rôle d’un collège, d’un lycée pour transformer les territoires.
Pour les acteurs scolaires, travailler en lien avec la recherche doit selon nous apporter plusieurs avantages :